Le répertoire des savoir-faire paysans

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67 Bas-Rhin

La Fair’ma part

Non issu.e.s du milieu agricole et installé.e.s hors cadre familial, Ariane et Julien ont démarré en 2019 la création de ce qu’ils nomment le « jardin » ; une ancienne friche boisée de 1,4 ha au total. Ils travaillent en maraîchage bio et sur sol vivant, non mécanisé. Depuis 2022, ils font partie du projet « Graine à la Graine ». Porté par l’ARDEAR Grand Est et Maraîchage sur Sol Vivant Grand Est, ce collectif se forme à l’autoproduction de semences paysannes maraichères.
80 Somme

Des escargots fermiers en baie de Somme

Camille s'est installée hélicicultrice en 2019. Elle nous partage son métier à travers deux grandes vocations : travailler avec la nature et sensibiliser le grand public.
Raphaël VICART, paysan boulanger à Cramont
80 Somme

Terre de pain : transformer son blé sur la ferme

Raphaël VICART transforme les céréales produites sur l’exploitation familiale pour faire du pain bio au levain, vendu localement.
52 Haute-Marne

Cultiver les variétés paysannes et diversifier ses activités par la production de légumes de pleins champs

Thierry est paysan sur une ferme en grande culture de 110 hectares et cultive une importante diversité de céréales, de protéagineux et de légumes de plein champs. Fils de paysan, il n’a pas fait d’études agricoles et il a travaillé à la Poste pendant 14 ans avant de revenir à l’agriculture au début des années 2000.
40 Landes

Les Douceurs du Marensin

Non issue du milieu agricole, Aline s’installe après plusieurs expériences professionnelles dans des domaines variés, une parenthèse pour s’occuper de ses enfants et un BPREA suivi de quatre saisons agricoles pour s’assurer de son envie. Son parcours a été semé d’embûches. Elle parvient à acquérir des terres grâce à un forestier qui a la sagesse […]
40 Landes

Des paysans pas si Naïfs

« Après plus de dix années à porter ce projet, on constate que l'espoir de voir évoluer les pratiques est toujours présent, et les projets nombreux, mais que la tâche est d'autant plus grande au regard de l'aspect économique et politique du pays actuellement. Nous pensons que l'avenir est aux paysans, aux petites surfaces diversifiées et non aux immenses monocultures et à l'agriculture industrielle, afin de sauvegarder l'autonomie alimentaire et les savoirs qui nous font cruellement défaut. »
55 Meuse

Reprendre une ferme et la développer

Paul s’est installé progressivement sur la chèvrerie de sa mère à partir de 2018. Il a développé un atelier maraîchage sur lequel il emploie une personne et s’occupe, lui, des chèvres et de la commercialisation. Ce jeune installé a mis en place de nombreux projets et en a encore en stock !